Voilà, selon mes sources, ce qu’aurait été le projet initial de : A la recherche du temps perdu. 

Ceux qui ont eu des lignes à copier pendant leur scolarité réalisent que 143 000, ça fait beaucoup de lignes. Quand j’étais petit, j’avais eu mille fois : "Je ne dois pas souffler le vent pour soulever les jupes des filles dans la cour de récréation."

Que le Grand Proust me croque, ça aussi c’est beaucoup de lignes et de temps perdu. Et c’est beaucoup de feuilles de papier aussi. »

Jean-Jacques Vanier

Mais le talk-show devient vite un tribunal pour ce père coupable des maltraitances passées, jusqu’à lui faire vivre la pire expérience en direct...Réalité ou Reality show ?!

La compagnie Les Moutons Noirs

Porter sur scène un texte classique en y faisant des pas de côté, que ce soit par le biais de l’humour, du décentrage, de l’impertinence ou du mariage des genres, est devenu, au fil des créations, une quête artistique de la compagnie. Les mises en scènes y sont tournantes ou collectives, les rôles ettâches partagés, l’organisation horizontale. Après L’Avare, Des Amours, Ruy Blas ou La Folie des Moutons Noirs, Le Temps qui Rêve, Macbeth Titre Provisoire, Cyrano(s), Titanic, La Meute, Avis de Recherche est la neuvième création des Moutons Noirs.

Le dimanche 26 janvier de 15h à 16h30, Frédérique Keddari-Devisme de l'association Nuage Citron propose un atelier d'écriture créative autour du spectacle. Il est conseillé d'assister à la représentation la veille. L'atelier est ouvert à 12 participants maximum. Tarif : 12€ - réservations par mail à nuage.citron@gmail.com

Désormais parfaitement à l’aise dans ses nouveaux habits de vocaliste, menant de front ses deux carrières, Kareen Guiock Thuram est désormais à l’affiche des grands festivals, preuve qu’elle a eu raison de vouloir suivre sa voix.

Après la guerre de Troie, Ulysse décide de rentrer chez lui, à Ithaque. Mais le destin et les dieux ne sont pas de cet avis et le voyage du retour sera semé d’embûches. Affrontant monstres en tous genres, sorcières, cyclope et autres créatures marines, Ulysse retrouvera Pénélope 10 ans plus tard...

La fameuse histoire de l’Odyssée racontée, chantée et dansée par 2 interprètes qui jouent 15 personnages. Une version inédite, concentrée et explosive !

D’une fraîcheur d’inspiration rare, ce pianiste doué impose avec brio son feeling et son lyrisme, affirmant une personnalité pour qui le jazz parle d’évidence.

« Mesdames et messieurs, bienvenue au Bestioles Blues Bazar, le cabaret le plus sauvage de Jazznimal City ! » Poussez la porte de ce drôle de bazar et laissez-vous entrainer par les chansons drolatiques de ce quartet de jazz, qui combine la verve du swing avec des textes au poil… d’animal !

Dans ce spectacle joyeux et extravagant, on entendra une saxophoniste un peu chèvre, un perroquet répétiteur de bossa-nova, un mini orchestre de cochons, un poisson rouge, un fakir et quelques boites à meuh. Un spectacle dont on ressort des animaux plein la tête, en claquant des doigts. Lauréat de la création jeune public du Forum Jazz de Jazz(s) Ra.

Jacky Terrasson aime surprendre son public et se pousser hors de sa zone de confort. Son répertoire ludique et malin est toujours une source de plaisir ; son nouveau trio avec le contrebassiste Sylvain Romano (bassiste des frères Belmondo) et le batteur cubain Lukmil Perez est un parfait bolide pour tracer sa route, avec cette folie joyeuse et ludique qui le caractérise..

« N’oubliez jamais que lorsqu’une femme en combat une autre, l’issue est souvent fatale. »

Pierre Choderlos de Laclos

Comptant par les instrumentistes les plus chevronnés en Europe, ils forment une sorte super groupe qui joue le jazz au sommet, avec assurance, élégance et vivacité, en toute complicité. La puissance maîtrisée de Sylvain Beuf au saxophone, la virtuosité impétueuse d’Antonio Farao au piano, la distinction des lignes de basse de Thomas Bramerie conjuguées au jeu de batterie de maître Cecarrelli font des concerts d’ASTA de purs moments de musique.

Les Banquets de salut public

Les Banquets de salut public sont une initiative partagée des Théâtrales Charles Dullin et de la compagnie Robert de profil. Ils ont lieu au printemps et en été dans les parcs et jardins du Val de Marne, ainsi qu’en automne et en hiver, au chaud dans les théâtres Val de Marnais partenaires du festival.

Les Banquets de salut public sont des moments de convivialité où les citoyennes et les citoyens se rassemblent pour écouter des textes tout en buvant un verre de vin ou de jus de fruit, en mangeant un morceau de quiche, un velouté céleri-roquefort selon la saison.

Ils ont pour objet de faire circuler parmi les citoyennes et les citoyens les grands écrits de l’antiquité qui ont jeté les fondations de la pensée moderne. Jadis appelés « les humanités », ces textes loin de nous dire quoi penser, nous donnent des clés pour une réflexion originale et personnelle sur le monde. A l’aune de leur éclairage, nous pouvons mesurer la nature de ce qui a changé et la nature de ce qui demeure

Avec « Wayne’s Wonder », le voici qui se penche sur la musique de l’un de ses maitres d’inspiration, Wayne Shorter qui, toute sa vie, aura fait œuvre de défricheur pour le jazz, de Miles Davis à Weather Report. Dans ce projet mi-électrique mi-acoustique, Lourau se consacre en particulier aux dernières décennies du saxophoniste disparu en 2023 et aux pépites parfois oubliées qu’elles recèlent, exhumées pour notre plus grand bonheur.

Une adaptation de la plus drôle et la plus touchante des Nouvelles de Pétersbourg pour 3 interprètes : Poprichtchine, sa domestique Mavra, et un pianiste qui accompagne sur scène avec des morceaux de Prokofiev cette surprenante ascension vers la folie.

Sublimée par des arrangements inédits, cette configuration instrumentale singulière permet de redécouvrir tout la magie et la poésie de la musique de Django sans perdre une once de swing !

Chami Chamo a voyagé, marché, vécu. Beaucoup. Longtemps.

Aujourd’hui, il ne peut plus avancer, il ne sait plus par où aller, quel chemin prendre. C’est au moment où plus rien ne lui paraît possible qu’il va faire la rencontre de Lulu Berlue et Jean-Yves le Hérisson. Ensemble, iels vont partir à la recherche du chemin de Chami Chamo,  traversant des forêts, des marécages, affrontant une tempête gigantesque et naviguant jusque dans les entrailles de la Terre.

A la croisée du théâtre, de la musique et de la marionnette grandeur nature, A Dos de Chameau est une véritable embardée, un appel à l’aventure pour petit.e.s et grand.e.s ! Là où les plus jeunes s’amuseront de ses drôles de personnages, les adultes y liront une fable philosophique au sujet de la quête de sens, et de la quête de soi. L’occasion également de (re)découvrir la splendeur des créatures mécaniques articulées de l’Ile de Nantes grâce à l’intervention experte de l’atelier de la compagnie La Machine dans la construction de la pièce maîtresse du spectacle : un chameau à taille réelle, né de ferraille, de cuir, de tissages et de tous ses souvenirs entassés dans son dos.

Prenant exemple sur Michel Camilo et Gonzalo Rubalcaba, il a développé une affinité avec la culture latino-américaine qui lui a valu des invitations au Mexique, où il a enregistré l’un de ses albums. Accompagné par deux grands musiciens cubains expatriés à Paris, et un batteur pétri de rythmes caribéens dont on ne cesse de vanter les qualités, ce talent vincennois est à découvrir de toute urgence !

DIEGO, Naît le 12 juillet 1998, le jour où la France est sacrée championne du monde. Au moment de sa venue au monde, son destin semble scellé et lié à jamais à l’histoire du football. Un père fervent supporter, un passage obligé par les pelouses des résidences, les stades, les échauffements et les entrainements, tout le pousse pourtant vers le banc de touche. Jusqu’au jour où il réalisera qu’il n’est pas condamné à devenir spectateur professionnel.

DIEGO, C’est la vie d’un jeune homme sur laquelle va planer, tout au long de son existence, le spectre du football, de son milieu social, de son enfance, de son père, et de Diego Maradona.

Bien plus qu’une simple addition de talents, ce trio explosif est un véritable groupe, au tempérament très joueur, qui aime s’amuser à trouver des voies détournées pour groover et trempe son jazz dans la pop et le rock, capable de passer de l’acoustique à l’électrique en quelques notes. Dans le genre, on ne fait pas mieux actuellement.

Quelle est donc cette île aux chants mêlés vers laquelle nos trois musiciens explorateurs décident de mettre le cap ? C’est une île mystérieuse et fascinante, comme dans tout bon récit d’aventure, où se rencontre et s’entrelace la multitude des chants du monde.

Pour la retrouver sur la carte, nos héros doivent suivre le fil d’Ariane de chansons et voir comment, à travers les océans et les migrations, celles-ci se sont mêlées pour donner naissance à de nouvelles traditions. Imaginé et interprété par la chanteuse Marion Rampal (qui a partagé la scène avec Archie Shepp) en compagnie de deux instrumentistes patentés, ce spectacle suit la trace des créolisations de la musique, et raconte, de Bretagne en Louisiane, d’Afrique en Caraïbes, comment airs et chansons peuvent se mêler et se métamorphoser pour le ravissement de nos oreilles.

Il y a Laetitia, qui veut comprendre pourquoi elle va si mal alors que tout va bien dans sa vie, Morgane, l’ado prisonnière de sa propre tourmente, et puis Charlotte, qui se découvre avec incrédulité à travers sa fille. Romain, lui, se tient tant bien que mal en équilibre, grâce au regard indulgent de sa femme. Chacun se cherche, se révèle... et s’adapte.

Par un regard tendre et amusé, Zébrures essaie de casser les clichés et l’incompréhension sur une caractéristique qui touche 2,3% de la population.

Avec Choubidouwa !, les Divalala s’emparent avec malice du répertoire dédié aux plus jeunes oreilles. Mordues de réécriture musicale, elles croquent joyeusement les comptines enfantines et s’aventurent dans cet univers, parées de toute l’inventivité qu’on leur connait. Leur grain de folie et leur virtuosité promettent un show qui décoiffe !

Choubidouwa ! met en scène trois petites notes de musique qui, surprises par une tempête, dégringolent de leur chanson et atterrissent dans une autre ! Un monde inconnu s’ouvre à elles et c’est une véritable épopée chantante qui surgit devant les yeux ébahis des plus jeunes spectateurs ! Virevoltant d'une comptine à l'autre, nos trois petites notes ébaubies vont de découvertes en rencontres palpitantes : pommes pimpantes, hibou rockabilly, fermière farfelue, salsifis survolté, âne méga stylé, araignée acrobate, bateau aventureux, baleine fine bouche ou escargot intrépide les entraînent dans un tourbillon sonore où se chahutent allègrement salsa, mambo, blues, gospel et autres styles chaloupés !

Pour pimenter leur show et nous entrainer dans cet audacieux périple, Les Divalala invitent de nombreux petits instruments et parsèment même leur création de compositions originales choubidouwesques ! Embarquez à leurs côtés et laissez-vous ravir par cette tornade musicale ébouriffante qui réinvente les tubes de notre enfance !

Un des ceux auprès de qui il fut le plus actif en studio à cette époque, le vibraphoniste Bobby Hutcherson, lui permit de dévoiler une autre facette de son talent : celle de compositeur, auteur de thèmes poétiques et singuliers. Après une carrière relativement discrète, il est, à plus de 80 ans, à nouveau affilié avec Blue Note, sur lequel il a publié récemment deux albums, dont le dernier regarde vers Cuba. Passant de la batterie au vibraphone, il en présente le répertoire en bonne compagnie. Pareille légende vivante ne se rate pas.

Baptiste a un Hamster qui s’appelle Bubulle. Tout semble aller pour le mieux dans la vie de Baptiste, même si son père n’est pas très doué pour s’amuser et rigoler, même si sa mère a souvent la tête ailleurs. Et puis, une nuit, tout bascule, Bubulle disparaît de la maison. « Il s’est enfui par la fenêtre », a dit papa. Et Baptiste sait que ce n’est pas vrai. Parce qu’il a vu ce qui s’était passé…

Auteur reconnu pour la jeunesse, Antonio Carmona ne craint pas d’empoigner des sujets graves, qu’il sait comme personne désamorcer par la tendresse et l’humour. Il aborde dans ce texte la perte de ce qu’on aime et le poids des non-dits. Son écriture cartoon, qui tend vers le burlesque, nous aide à porter un œil malicieux sur toutes les situations de la vie, y compris les plus douloureuses.

Ce groupe est issu, comme les Doors, d'un mariage entre musique rock et jazz ; une envie commune de partager la musique intemporelle du mythique groupe de rock des années 60.

Le chanteur Phil Grandmougin, leader du groupe de rock français Mallory, Damien Million, pianiste et directeur d'une école de musique à Vincennes (Un Million de musiques), Julien Francomano, batteur de jazz et de rock avec un grand répertoire d'expression, et Adrien Tramu, guitariste du groupe Nerves et guitariste expérimenté dans la musique Jazz, composent ce groupe de reprises de la musique des Doors.

Une grande complicité musicale et une authenticité se dégagent naturellement de ce groupe.

Conférence de Julien André et Ibrahima Diabaté avant le concert à 15h au petit Sorano (accessible aux personnes ayant une réservation pour le concert du soir et dans la limite des places disponibles).

Le vent souffle, les premières neiges font leur apparition et chacun se prépare à accueillir l'hiver.

La pratique du "plein air" revêt une importance capitale dans ma démarche artistique, pour son potentiel inspirateur. Toujours à l'affût des atmosphères, des sensations, et des jeux de lumière, même la pluie est souvent présente dans mes paysages. Le dessin au crayon sur le motif constitue pour moi une étape essentielle, offrant à la fois une approche pratique, et la possibilité d'explorer le cadrage, et les valeurs de mes futurs sujets.

Mon affection particulière pour le travail en atelier découle de ma nécessité de prendre du recul sur mes émotions, et de laisser mûrir mes réflexions, pour mener à bien mes projets. C'est dans l’espace clos de l’atelier que mes idées prennent forme et que mes œuvres acquièrent leur pleine dimension.»

Photographiant dans des régions telles que Hong Kong et Guangzhou au sud du pays, Chongqing au centre, et Shanghai et Suzhou à l'ouest, Marilyn a passé son temps à explorer les villes dans l'espoir de se perdre.

Yann MÉZOU, la passion du vélo à l’ancienne

Vincennois et adhérent à l'Espace Sorano, Yann Mezou est passionné par le cyclisme des années 1950-1980.

Il a conçu des dioramas mettant en scène des petits cyclistes de 5,5 cm de haut environ, avec véhicules publicitaires, spectateurs, etc.

En 1966, Lucien Aimar remporte le Tour de France. C’est aussi l'année de naissance de Yann Mézou.

Vers 1971, son père lui offre un peloton de petits cyclistes Salza, dont certains sont exposés ici. Il passe des heures à jouer avec sur la moquette. Pour fêter l’arrivée du Tour de France, au début des années 1970 (l’époque “Eddy Merckx”), son grand-père lui offre aussi des coureurs.

En 1975, son père l'emmène voir son ami Pierre Tosi, coureur cycliste pro, qui court dans des critériums. Il aime reproduire ces courses avec ses petits cyclistes.

Années 1980-1990, adolescence, âge adulte. Il joue de la guitare, il étudie (le droit), il entre dans la vie active (presse, communication). Ses cyclistes dorment dans une boîte en carton, jusqu’au jour où… il a des fils !

Il ressort ses anciens jouets, pour partager avec eux la joie de créer des histoires avec de petits personnages. Pris par le jeu, il restaure, repeint certains cyclistes, construit des décors...

Vers 2009, il remonte sur le vélo de course de ses quinze ans, portant les mêmes maillots que ceux de ses petits coureurs. Depuis, il est toujours en selle !

En effet, c’est à l’Espace Sorano que Françoise Ducène-Lasvigne a réalisé sa toute première exposition sur ce qu’elle appelle son Paris insolite. Elle est revenue en 2019 pour nous présenter de chatoyants Reflets d’automne et elle revient donc aujourd’hui, pour un retour aux sources, en quelques sortes. Cette exposition fera ressortir l’évolution de son art vers une abstraction qu’elle se plait à qualifier d’«onirique », la présence des oiseaux constituant un point d’ancrage dans la réalité par leur traitement presque imperceptible, tout en renforçant la sensation de rêve.

Les photos exposées ont été prises pour la plupart au Parc Floral de Paris où elle « travaille » sur le plan photographique depuis plus de douze ans. Le thème des oiseaux et des plantes aquatiques est, quant à lui, inspiré de l’art japonais pour lequel elle a beaucoup d’admiration. C’est donc tout naturellement que nous avons proposé à Françoise Ducène-Lavigne de « partager l’affiche » avec  l’association La voix des fleurs qui enseigne à l’Espace Sorano l’art d’organiser de superbes compositions florales appelé Ikébana.

Ikebana est un mot japonais composé de « IKERU » qui veut dire faire vivre et de « HANA ou BANA » les fleurs. Cela pourrait se traduire par leur redonner une nouvelle vie.  L’Ikebana est un art millénaire et sacré, invitant à la méditation Depuis toujours, il désigne une composition florale faite de fleurs et de végétaux où la beauté est concrétisée par l’asymétrie, le vide, l’harmonie entre le contenant et les éléments utilisés.

Anne-Marie Casenaz travaille plus particulièrement le concept de l’épure, à travers une approche entre art géométrique et art minimaliste. Pour cette exposition, le choix de la couleur blanche sur la totalité de ses créations accentue cette impression d’épure. Elle oblige chacun à être au plus près de ses œuvres pour découvrir leur texture, leur matière, les riches nuances imperceptibles des blancs. La lumière et les ombres jouant avec la surface de terre ou d’émail des sculptures.

Artiste pluridisciplinaire, Flora Viguier est également directrice et professeur de l’association Atecrea. Pour cette exposition, elle a choisi de traiter l’intime au travers de femmes de terre ou de papiers comme des facettes de pensées révélées. Objets symboliques, flèches et  boucliers reviennent dans sa représentation pour évoquer la lutte interne qui anime l’artiste. La femme à travers ses blessures, ses failles, ses désirs et ses doutes. La femme sorcière, mystique, animale, endormie ou en guerre, autant d’états d’âmes traversés et fixés comme des totems pour célébrer la vie.

Ikebana est un mot japonais composé de « IKERU » qui veut dire faire vivre et de « HANA ou BANA » les fleurs. Cela pourrait se traduire par leur redonner une nouvelle vie.  L’Ikebana est un art millénaire et sacré, invitant à la méditation Depuis toujours, il désigne une composition florale faite de fleurs et de végétaux où la beauté est concrétisée par l’asymétrie, le vide, l’harmonie entre le contenant et les éléments utilisés.

Suzanne LIEBRARD n’est pas la championne sportive française la plus connue mais elle est sans doute la première ! Elle fait partie de cette génération de jeunes femmes qui, au début du XXème siècle, a investi les terrains de sport en quête de liberté et d’émancipation. Son histoire et celles d’autres femmes sportives du début du XXème siècle sont racontées par l’exposition A jamais les premières. Photographies et illustrations enrichies de courts films explicatifs vous immergent dans cette période cruciale pour le développement et la pratique du sport au féminin et font revivre le parcours de ces pionnières.

A l'occasion du vernissage le 5 octobre à 19h, accompagnés par Léonard Prain, l'auteur du spectacle Vole, Eddie vole ! programmé à l'Espace Sorano par la Ville de Vincennes, les comédiens du Studio JLMB vous ont préparé quelques surprises "olympiques".

Fusion Artistique, c’est la collaboration de deux jeunes artistes, Marie Dicharry et Léonie Ott. Fortes d'une amitié de 11 ans, Marie, photographe portraitiste et Léonie, créatrice de tenues, ont toujours partagé une passion pour l'art et la création. Collaborer sur une exposition commune a été comme une évidence !

A travers une série de photos, les tenues (Cosplay) seront exposées, portées et mises en scène dans l’univers qui leur correspond. De la tenue de Harley Quinn tirée de l’univers DC Comics aux tenues futuristes des personnages du Film le 5e élément de Luc Besson en passant par la tenue mythique de Barbie, il y en aura pour tous les goûts et tous les styles !

Vous pourrez découvrir le travail de Anne-Marie Casenaz, Estelle Delphin-Lobel, Dominique Mairand, Stéphanie Boulay, Véronique Solivellas et Raphaël-Didier de l’Hommel

Les oeuvres exposées seront toutes disponibles à la vente et les coordonnées des artistes seront à votre disposition. Vous pourrez également venir acheter des oeuvres directement au près des artistes le samedi 16 décembre de 14h30 à 17h

Reservation au vernissage par mail : communication@espacesorano.com

«Le collage comme terrain de jeu d’une création artistique singulière :

- porter un regard différent sur son environnement

- trouver le beau dans une expression graphique inattendue

- laisser place à la créativité pour imaginer des ailleurs

Ma démarche artistique s’inscrit dans un mouvement d’art upcycling, centrée autour de 3 axes :

- créer une palette à partir d’éléments visuels de magazines

- imaginer des compositions comme des voyages vers d’autres ailleurs

- concevoir des "portraits à clef " inspirants. »

Vous pourrez découvrir le travail de Véronique Solivellas, Stéphanie Boulay,  Marie Françoise Sagols, Marie Dicharry, Carlos Alberto Castillo Ibarra et Denis Christophel.

Les œuvres exposées seront toutes disponibles à la vente et les coordonnées des artistes seront à votre disposition. Vous pourrez également venir acheter des œuvres directement au près des artistes lors du vernissage le jeudi 5 décembre de 19h à 21h30.

Réservation au vernissage par mail : communication@espacesorano.com

Depuis 2018, lorsque j’ai pris ma retraite, j’ai commencé à sculpter le bois et c’est devenu une passion au fil du temps.

Je sculpte du chêne, du frêne, de l’aulne et plus particulièrement du tilleul que je patine avec des produits d’ébénisterie et diverses cires.

Dans mon petit atelier, mes compagnons sont mes outils et mes mains sont le prolongement de ma pensée. Quel plaisir de faire émerger de cette matière des formes, des expressions, des visages, des idées et du sens ! Pour moi l’expression artistique et culturelle dépasse le temps, elle est immortelle, c’est une forme d’espoir et de vie.

Certaines de mes sculptures sont des créations, d’autres sont inspirées d’œuvres que mon regard a croisées… »

Le Château de sable est précédé de deux courts métrages du même réalisateur :

• Tchou-Tchou (1972)

• Le Théâtre de Marianne (2004)

Les préparatifs de Noël battent leur plein à Sapinville. Andrew rêve d’adopter un petit husky tandis que Sofia aimerait être près de ses amis pour célébrer les fêtes de fin d’année. Mais de nombreuses aventures et bien des surprises attendent les deux enfants avant que leurs rêves ne se réalisent…

Dans un univers beckettien, deux personnages clownesques tentent d’organiser leur désordre et de donner un sens à leur venue au monde. Ces désœuvrés actifs et, à leur manière, inventifs, comblent leur vide existentiel en mettant à exécution des projets aussi dérisoires qu’inutiles, parfois même risqués...

Nana, jeune femme curieuse et virevoltante avance dans la vie en proie à des émotions fortes qu’elle ne parvient pas à maîtriser. À travers un univers féerique et bucolique, nous suivons son cheminement et sa lutte pour les canaliser. Nananère est un spectacle pluridisciplinaire à la frontière des genres, sans parole où la sensibilité est perçue comme une force et les émotions comme une incroyable richesse… si nous avons les clés pour les dompter !

Gretel et Hansel, tout comme les saveurs, ont disparu. Le pays entier ne prend plus le temps de se mettre à table et ce soir-là, après l’école, la sœur et le frère ne sont pas rentrés chez eux. Depuis, tout le monde les cherche : la famille trop occupée a peur, la police enquête, la nounou pleure, à l’école et à la médiathèque, on s’interroge et s’inquiète. Gretel et Hansel, eux, marchent dans une forêt hantée et font face aux plus grandes expériences de leurs jeunes vies : l’émancipation, la solitude, le mystère de la nature, la peur et l’amour fraternel. Alors que personne ne les avait préparés à de telles rencontres, voilà que surgissent en eux et dans leur petit village, à travers les méandres de la vie, des personnages réels et imaginaires peuplant les coulisses du temps trop court de l’enfance perdue : Pierre le policier, Madame Guillard, l’écureuil, le marchand de larmes, la sorcière et d’autres…

Le samedi 11 février à 19h et le dimanche 12 février à 15h30 les représentations seront précédées d'une lecture de 30 minutes des textes Chlore de Karin Serres et Froissements de nuits de Dominique Paquet

Chlore de Karin Serres et Froissements de nuits de Dominique Paquet

Mise en lecture Patrick Simon

Avec Constance Rigaudière et Dorian Campagne

Chlore : Aïda et Rocco, l’une sourde, l’autre aveugle, deux adolescents ont été « oubliés » à la piscine. Être oublié, n’est-ce pas l’angoisse fondamentale de chacun de nous ? L’un guidant l’autre, l’autre guidant l’une, ils retrouveront le chemin du retour.

Froissements de nuits : Le dialogue d’Aïda et de Rocco se poursuit au cœur d’une nuit qui dure peut-être toute une vie. Quand s’absentent les sons, quand s’aveuglent les images, reste le toucher des mots, ceux des rêveries et des secrets jamais dits. Sous les étoiles, Aïda et Rocco réinventent avec leurs yeux absents, leurs oreilles lointaines, la tendre proximité du monde.

Débuts parle des débuts dans les relations amoureuses de nos jours. C'est une pièce qui résonne donc particulièrement pour les jeunes adultes de notre temps. Beaucoup de spectateur.rices nous ont confié que le spectacle "mettait les mots" sur leur vécu.

Que se passe-t-il en nous lorsque nous commençons à fréquenter quelqu’un ? Cette période semble plus souvent faite d'incertitudes que de déclarations béates …

Sarah et Louise nous racontent, au rythme des saisons, leurs débuts de relations amoureuses pendant une année. Entre attachement et désirs d'indépendance, elles sont « un peu les deux faces d’une même pièce » : celle de l’injonction à l’autonomie dans les relations.

Nourrie des travaux de la sociologue de l’amour Eva Illouz, Débuts interroge notre rapport à l’amour à travers l’histoire de deux individualités qui se débattent avec elles-mêmes et avec leur époque, pour effectuer une belle sortie de route du cynisme, en dérapages souvent incontrôlés.

Un moment drôle, sensible et plein de vie - Théâtre Actu

Poèmes, pièces de théâtre ou pages de prose : de nombreux textes de Victor Hugo ont été mis en musique par les plus grands compositeurs de son siècle et du suivant. Ces morceaux, interprétés par Pauline Courtin, s’ajoutent aux mots du poète pour nous offrir ce spectacle : Choses Vues... et chantées !

Zola l’infréquentable raconte la confrontation véridique et peu connue entre lui et Léon Daudet, fils de son illustre père, pamphlétaire nationaliste et pigiste pour divers journaux de l’époque. La pièce nous montre les dessous de la grande et de la petite histoire, dévoile des positions parfois méconnues d’illustres personnages et nous révèle le climat passionnel de l’époque, toujours tristement d’actualité.

Zola et Daudet : quel duel ! - Le Figaro

À la fin... c’est une rencontre improbable, avec Markus, un homme simple, délicat mais bien loin des canons de beauté. Une nouvelle histoire commence, un amour qui ne cherche plus un idéal, et accepte la vie avec ses cicatrices… pour inventer le bonheur, avec délicatesse.

Un moment exceptionnel à ne pas rater – POINT DE VUE

Plus pétillantes et glamours que jamais, toujours a cappella, Les Divalala puisent à la source intarissable de la chanson d’amour et marquent une nouvelle fois de leur griffe inimitable les tubes de Johnny, Nougaro, Clarika, Sardou, Soprano, Hervé Vilard, Elsa, Bashung, Chamfort, Cora Vaucaire…

Constamment sur le fil de l’humour et de l’émotion, tour à tour conquérantes, connectées, libres, éplorées, enflammées et toujours le cœur battant, Les Divalala officialisent avec C’est Lalamour ! leur amour fou pour la chanson.

Drôle, émouvant, tourbillonnant - Le Monde Un divertissement vocal de haute-voltige - Le Figaroscope Les Divalala osent tout ! - Télérama

Crédit photo  ©Robin Berthault

Le coup de foudre pour son instrument est si percutant que rien ni personne ne semble pouvoir s’opposer à une telle union, et pourtant…

Petit à petit, et presque malgré lui, le tout jeune homme lève le voile, sur une histoire aussi drôle que bouleversante - mieux qu’une existence extraordinaire - une vie sur mesure.

Un concentré délicat d’humanité. – Le Monde Un spectacle à la fois touchant et poétique, drôle et troublant. A découvrir sans tarder. –Télérama Formidable ! – Le Point Un spectacle coup de cœur. – Le Parisien

Comment Frédéric, maire écologiste, agriculteur, jeune père de famille, engagé, rêveur, recyclage, circuit-court, pistes cyclables et festival de musique débranchée...bref, comment Frédéric a-t-il pu décider seul, et dans le secret, du déploiement de la dernière génération d’antennes-relais partout dans la commune ?

Coupures est une comédie satirique qui aborde la place que le public occupe, ou plutôt celle qu’il n’occupe pas, dans le débat démocratique.

LE spectacle à ne pas manquer cette saison - Paris Match Une intelligence politique électrique… brillant, drôle et généreux - TTT Télérama Une énergie folle et beaucoup d’humour - France Info

Si vous aviez déjà réservé vos places, nous vous invitons à contacter la billetterie à l'adresse billet@espacesorano.com à partir du 22 avril 2024 afin de nous dire si vous préférez un report de vos places sur le spectacle A la recherche de La Recherche avec Jean-Jacques Vanier qui se tiendra également les 1er et 2 juin 2024, ou sur le spectacle Coupures que nous accueillons les 27 et 28 avril 2024 ou encore un remboursement.

New-York, une nuit de 1958. Une femme se fait arrêter par la police. Elle est au volant d'une voiture de luxe aux côtés d'un homme noir, le musicien Thelonious Monk. Cette femme, c'est Pannonica de Koenigswarter, née Rothschild. Elle est blanche, elle est riche, elle est aristocrate. Mais au fil de son interrogatoire par la police, elle se révèle libre et moderne : elle a brisé les codes moraux et les conventions sociales qui l'enfermaient, s'est émancipée de sa condition pour devenir la mécène des jazzmen noirs américains, leur grande amie et parfois, leur maîtresse.

Une histoire vraie.

La performance d'interprétation de Natacha Régnier nous emporte d'un bout à l'autre à la rencontre de cette femme dont l'histoire reste peu connue en dehors du milieu du jazz. - Coup de théâtre

Durée : 1h10

Dans les années 30, cette riche héritière américaine se pique d’art lyrique, s’improvise soprano colorature et inflige aux plus fameux airs un traitement redoutable par sa fausseté et ses fantaisies rythmiques. Elle devient pourtant incroyablement populaire au fil de récitals et d’enregistrements improbables.

De leur rencontre au dernier concert à Carnegie Hall, Colorature nous invite à suivre le destin à la fois hilarant et bouleversant de deux personnages hors du commun.

Ce récit drôle et touchant est porté avec une précision folle par des artistes maîtrisant à la perfection les outils du bruitage et du mime.

Une histoire du quotidien racontée à travers une forme aussi originale que virtuose.

C’est le retour de « Jazzoo » qui a déjà enchanté à deux reprises les petites oreilles de l’Espace Sorano. Le groupe suédois Oddjob avait conçu ce spectacle à l’origine comme un livre musical destiné à faire découvrir le jazz aux enfants. C’est finalement devenu une création à part entière, en deux volumes, qui associe sur scène un groupe de jazz à une série de dessins animés basés sur le bestiaire drôle et coloré de l’illustrateur Ben Javens. On retrouvera avec joie à l’écran les aventures (et les mésaventures !) du hérisson, de la baleine, de l’éléphant ou encore du kangourou — et quelques nouveaux chapitres à l’occasion de cette tournée anniversaire des dix ans — commentées en musique par la trompette, le piano ou le saxophone, expressifs et drôles à souhait. Un spectacle interactif et sans parole, à voir en famille, pour s’amuser et ressentir les premières émotions du swing, du groove ou du free.

Crédit photo  ©Monsieur Tok

Deux fois par saison, le Petit Sorano se transforme en club pour accueillir des groupes en devenir. Passionnés de jazz ou curieux, découvrez les talents du jazz de demain, dans une ambiance intimiste et conviviale, un verre à la main.

Radio Krystal

Passé par le PAJE (Parcours Accueil Jazz Émergent) du Centre des Bords de Marne au Perreux, ce groupe à l’intitulé poétique réunit quatre musiciens déjà repérés séparément dans différents contextes : Ossian Macary, jeune tromboniste talentueux et versatile, fraichement sorti du CNSMDP, le pianiste Noé Huchard, à qui sa virtuosité a valu d’être lauréat de nombreux prix ; le contrebassiste Sam F’hima, membre du groupe électro-jazz Daida, et David Paycha, batteur actif au sein du Zoot Collective. Radio Krystal les place sur une fréquence commune, forts d’une écriture contemporaine pleine de fraicheur et animés d’une envie d’interaction collective très engageante, qui fait de leur groupe une petite pépite à découvrir.

Deux fois par saison, le Petit Sorano se transforme en club pour accueillir des groupes en devenir. Passionnés de jazz ou curieux, découvrez les talents du jazz de demain, dans une ambiance intimiste et conviviale, un verre à la main.

Jeanne Michard Quartet

On entend et on voit beaucoup, depuis quelques mois, la saxophoniste Jeanne Michard, sur la scène des clubs parisiens, dans les bars musicaux ou encore au sein des enregistrements en plein air organisées par le dynamique collectif des Paris Jazz Sessions. Et cela se comprend à tous les niveaux : non seulement Jeanne Michard reste une rareté dans un monde du jazz encore très masculin mais surtout, elle possède un talent solide, forgé dans l’admiration des grands du sax et rodé par les jams, représentatif d’une nouvelle génération de musicien.ne.s qui ne craint pas de prendre la tradition du jazz à bras le corps et la fait vivre avec fougue et assurance. 

Deux fois par saison, le Petit Sorano se transforme en club pour accueillir des groupes en devenir. Passionnés ou curieux, découvrez les talents du jazz de demain, dans une ambiance intimiste et conviviale, un verre à la main.

Olga Amelchenko Quartet 

Russe de naissance, passée par Berlin où elle a affiné ses talents de compositrice au Jazz Institut de la ville, Olga Amelchenko mène désormais carrière en France. Membre du Orchid Big Band, active auprès de Franck Tortiller ou au sein des Paris Jazz Sessions, cette saxophoniste alto a commencé de se faire un nom en publiant un album remarqué, « Slaying the Dream », en 2023. Ancrant son propos dans un esprit très actuel, elle développe un univers affuté, aux compositions exigeantes, servi par un groupe de haut-vol parmi lequel on retrouve notamment le pianiste Enzo Carniel (House of Echo).

Un concentré délicat d'humanité. -Le Monde

Olga raconte de véritables histoires avec son instrument, et tient à être écoutée et comprise - Jazz Forum

Deux fois par saison, le Petit Sorano se transforme en club pour accueillir des groupes en devenir. Passionnés ou curieux, découvrez les talents du jazz de demain, dans une ambiance intimiste et conviviale, un verre à la main.

Bastien Brison Trio

Remarqué au sein du groupe Uptake, pianiste attitré du Dedication Big Band, pilier des Paris Jazz Sessions, Bastien Brison est en train de se faire un nom par l’élégance ludique de son jeu, son sens infaillible du swing et sa polyvalence heureuse. Après de nombreux séjours à New York et une activité intense dans le réseau des clubs parisiens, le temps est venu pour lui de se faire enfin entendre sous son nom, ce qu’il fera à Sorano à la tête d’un tout nouveau trio...

La Master Class ayant une dimension pédagogique elle s'adresse en priorité aux musiciens. Toutefois, l'événement reste ouvert à tous sous réserve de places.

La Master Class ayant une dimension pédagogique elle s’adresse en priorité aux musiciens. Toutefois, l’événement reste ouvert à tous sous réserve de places.

Pour célébrer la nouvelle année l’Espace Sorano vous offre une place pour toute place achetée en ligne au tarif plein sur ce concert. Pour bénéficier de cette offre exclusive, sélectionnez le WEB TARIF PROMO.

Arnaud Dolmen a été désigné « Révélation » aux Victoires du jazz 2022. Voici le morceau The Gap qu'il a joué pour l'occasion avec son "Adjusting Quartet"  que vous pourrez découvrir en live samedi !

Crédit photo  Kevin Hays ©Dani Case Thomas Enhco ©Maria Jarzyna

Crédit photo  ©Anna Korninska

Crédit photo  ©Julien Alour

Cette exposition est l'aboutissement d'une année riche en créativité!

En cette fin d'année scolaire, il est temps pour nos ateliers de dévoiler leurs créations lors de l'Exposition des Ateliers, du 7 au 26 juin 2022, dans notre Hall d'expositions et notre Foyer.

Une occasion pour nos adhérents de présenter leur travail et pour vous de rencontrer les animateurs, et pourquoi pas vous renseigner sur les activités en vue d'une future inscription.

Biennale dédiée aux photographes amateurs et à tous les amateurs de photos, son objectif est de mettre en lumière de nouveaux talents et leur permettre de rencontrer les professionnels du secteur.

Créé par des passionnés de photographie, le Vincennes Images Festival se veut un moment de rencontre pour promouvoir la photographie amateur, faire émerger de nouveaux talents et créer des passerelles entre amateurs et professionnels.

La 4ème édition du festival, qui se déroulera du 18 au 22 mai 2022, regroupe cette année des expositions, conférences et ateliers qui animeront ce week-end dédié à la photographie.

Pour plus d'informations, rendez-vous sur le site du festival !

Guidés par Patrick Simon et Gaëtan Gauvain, les apprentis-comédiens devront construire ensemble en moins d'une heure de vraies propositions de mise en espace et d'interprétation autour de textes qu'ils découvriront à la dernière minute. Un défi riche en surprises auquel le public est invité à assister pour se trouver au plus près du processus de création. Nous vous attendons donc nombreux "dans la cuisine de l'acteur"!

Venez découvrir ces enseignements de la nature vus à toutes les échelles avec des chercheurs du Museum, du CNRS et des Universités lors de cette journée exceptionnelle !

Venez découvrir ces enseignements de la nature vus à toutes les échelles avec des chercheurs du Museum, du CNRS et des Universités lors de cette journée exceptionnelle !

L'association propose de poser un regard différent des préjugés et stéréotypes véhiculés par les médias sur l'Afrique.

Celui d’un continent dynamique à la croissance émergente, celui d’un continent qui regorge de talents et d’intellect, celle de la musique qui se répand et influence le monde, celle d’une littérature foisonnante.

Il existe à l'évidence une Afrique de la création, de la richesse économique et culturelle, de l'élan vers l'avenir.

En résumé, une Afrique en marche.

Plus d'informations : https://www.afrique-en-marche.fr/

Avec cette première création, embarquez avec eux pour un voyage à travers les États-Unis : Après une première escale à Chicago dans l’ambiance brumeuse d’un jazz club, direction Hollywood et fouler le tapis rouge. Atterrissez enfin à Broadway pour assister à une comédie musicale !

Une plongée au cœur du cabaret et du music-hall revisités par ces talentueux artistes !

C'est l'histoire de fantaisies qui se rencontrent et se toisent. Ces personnages vivent dans l'urgence, l'urgence de dire, le besoin irrépressible de parler, vider le trop plein, déborder... Alors, ils parlent. Beaucoup. Trop. Porte-paroles du quotidien, ils vous amusent, vous touchent, vous ressemblent. Des personnages drôles, attachants, sensibles, fragiles, colorés. Vivants, en somme !

Avec fantaisie, humour et une pointe d'absurde, « Pour ceux qui parlent tout seuls » dépeint les petites folies et les excès dans lesquels chacun de nous peut se retrouver.

Les pièces romantiques brillantes inspirées des opéras de Mozart et de Verdi contrasteront avec des œuvres espagnoles plus racées de Joaquín Rodrigo ou du célèbre Asturias de Isaac Albéniz.

Pour ce qui est de l’Amérique Latine, Heitor Villa-Lobos, sans doute le compositeur brésilien le plus prolifique pour guitare, sera accompagné du compositeur argentin Astor Piazzolla pour conclure ce concert avec Aline Maresquier en duo clarinette & guitare.

Au programme :

• Heitor Villa-Lobos - Prélude n°1

• Fernando Sor - Introduction et Variations sur un thème de la flûte enchantée de Mozart

• Isaac Albeniz - Asturias

• Joaquín Rodrigo - En los Trigales

• Miguel Llobet - le Testament d’Amelia extrait des Chansons populaires catalanes

• Julián Arcas - Fantaisie sur des thèmes de la Traviata de Verdi

• Heitor Villa-Lobos : Bachianas Brasilieras n°5

• Astor Piazzolla -  Café 1930 extrait de "l'Histoire du Tango"

Violons & Co proposent une vision du violon en mouvement, avec un répertoire très actuel, que ce soit sur scène, dans la rue, dans les parcs... Ils créent des univers artistiques innovants, en repoussant les frontières entre les arts visuels, le spectacle et la musique, entre les genres musicaux, entre élèves et professionnels, entre artistes et publics.

Laissez vous entraîner dans l'ambiance exaltée et exaltante des années 1980 par le mélange des arts cher à Violons & Co : musique, danse, rap !

Une comédie théâtrale et musicale pleine de fantaisie interprétée par deux chanteuses lyriques et une pianiste, occasion rêvée pour découvrir l’opéra, la musique classique, mais surtout s’amuser et peut-être envoyer valser quelques clichés sur ce que doit être une femme…

À travers une polyphonie de points de vue de patients, La Maladie de Sachs, adapté du roman de Martin Winckler, pose la question de la « bonne distance » pour soigner et nous fait découvrir l’homme sous la blouse blanche.

Le spectacle explore, dans un même souffle, l’intimité du cabinet médical, là où les patients libèrent la parole ; et la trajectoire de vie personnelle de Bruno Sachs, médecin généraliste de campagne. En lutte contre un système médical dont il rejette les acquis, il se jette à corps perdu dans sa relation avec ses patients jusqu’à s’oublier lui-même.

Découvrez les talents cachés de vos quartiers !

L’Espace Sorano offre cette année encore, une scène aux artistes vincennois. Pour cette édition, le comité de sélection culturelle a choisi pour vous cinq créations aussi variées qu’exigeantes.

Au programme : une jeune compagnie vous entraîne au cœur d’un fast-food en folie, des artistes de cabaret vous embarquent aux États-Unis, un guitariste classique vous faire voyager en Espagne et en Amérique du Sud, une troupe de théâtre vous plonge dans la tête de ceux qui parlent seuls, des violonistes passionnés vous font revivre les années disco !

Près de 800 élèves de maternelles découvriront des films français et étrangers de qualité.

Une occasion de sensibiliser les tout jeunes vincennois au 7ème art.

Tout au long de la saison, des interventions d’apprentis-comédiens auront lieu sous différentes formes : lectures, happening, présentation de travaux d’élèves, etc.

En ce mois de janvier, le groupe de travail 2021/2023 du Studio JLMB, présentera Chroniques du jour d’après, une création collective dirigée par Stéphane Douret à partir des œuvres de Samuel Beckett et de Jon Fosse.

Il y a quelques années, elle a découvert une entreprise familiale et artisanale dans le sud de la France qui travaille le papier recyclé. Dans une logique anti-gaspi, cette dernière propose à la vente des chutes de papier en vrac. L’idée a plu à l’artiste : ce papier avait été fabriqué, il fallait que l’ensemble soit utilisé. Elle a donc passé commande et n’a pas été déçue. Cela lui a même inspiré la création d’une exposition : « Chutes » est un jeu de mots entre ces chutes de papier, et les chutes d’histoires en trois cases.

Cette première exposition est réalisée à partir du thème des maisons.

Xavier Sauvage, de l’association Regard Caméra, et Michaël Midoun, animateur du Creative English Workshop de l’Espace Sorano, en cinéphiles passionnés se sont plongés dans les archives cinéma de l’établissement.

Cette exposition est l’occasion de retracer, à l’aide de documents d’exploitation (affiches, photos…) le passé cinématographique du centre culturel, classé cinéma « Art et essai » durant plusieurs décennies.

Redécouvrez les affiches de films cultes : « Paris brûle-t-il ? », « Un Poisson nommé Wanda », « Jackie Brown », « C'est arrivé près de chez vous », etc. et revivez les émotions vécues lors de ces projections.

Profitez-en pour acheter vos billets ou vous abonner à la saison jazz.

Découvrez également le Pass Trio !

Les stratagèmes qu’il élabore pour conclure le marché seront déjoués tour à tour par son épouse se plaignant des caprices de leur fils Toto, les déboires conjugaux du haut fonctionnaire à convaincre, l’arrivée de la femme de ce dernier accompagnée de son amant, le tout rythmé par les lancers de pots de chambre du turbulent petit garçon qui refuse toujours de prendre sa purge…

Dans ce vaudeville jubilatoire, les couples volent en éclat comme la porcelaine pourtant réputée incassable.

de Georges Feydeau

Mise en scène Émeline Bayart

Avec : Émeline Bayart, Éric Prat, Manuel Le Lièvre, Valentine Alaqui, Thomas Ribière, Mariana Montoya Yepes et Manuel Peskine (piano)

©Caroline Moreau

Production déléguée En Votre Compagnie / Coproduction Théâtre Montansier / Versailles, L’Azimut Antony/Châtenay-Malabry / En Votre Compagnie, Théâtre de l’Atelier / Avec l’aide de la Région Ile-de-France / Avec le soutien de l’Espace Sorano, SPEDIDAM et ADAMI / Avec la participation artistique du Studio d’Asnières-ESCA

Monsieur Bout-de-Bois mène une vie paisible dans son arbre familial avec Madame Bout-de-Bois et leurs trois enfants. Lors de son footing matinal, il se fait attraper par un chien qui le prend pour un vulgaire bâton. Commence alors pour Monsieur Bout-de-Bois une série d’aventures qui l’entraîneront bien loin de chez lui…

Dans les beaux quartiers de la banlieue strasbourgeoise, Max, dix ans, passe les vacances d'été chez sa grand-mère. Passionné par le jazz manouche, il se rend dans le quartier des gitans où il achète une vieille guitare. Grâce aux cours que Miraldo veut bien lui donner, Max va faire l'apprentissage de la musique et de la culture tsigane. Très vite, il rencontre Swing, jeune manouche de son âge, libre et sauvage avec qui il se lie d'amitié.

Les deux inséparables bricoleurs ont encore des idées à la pelle pour améliorer leur quotidien. Un brin gaffeurs, mais surtout très marteaix, ils nous font toujours autant rire dans cette nouvelle sélection de courts métrages. 

Pat et Mat est une série animée qui a été créée en 1976 par Lubomir Beneš. Aujourd'hui, la série connait un succès international et compte plus de 90 épisodes. Les derniers sont tous créés dans le studio Patmat, écrits et réalisés par Marek Beneš, le fils de Lubomir Beneš qui s'est éteint en 1995. 

En présence de Dorian le Clech

Très inspiré par les jeux de lumière virtuoses de Turner, le hiératisme de Caspar David Friedrich ou encore l'abstraction de Rothko, Denis Christophel a développé et affiné un répertoire épuré qui correspond à une intériorisation du paysage. Cette synthèse personnelle est le fruit d'un long processus et d'une pratique très ritualisée.

Le motif émerge très progressivement, par glacis successifs. Le tableau doit être simple, équilibré, traversé par une horizontalité apaisante, de façon à ce que chacun puisse s’approprier intimement l'espace qu'il propose.

A Bogota, Silvia, mère célibataire et avocate, est mise en cause dans un scandale de corruption. A ses difficultés professionnelles s'ajoute une angoisse plus profonde. Leticia, sa mère, est gravement malade. Tandis qu'elle doit se confronter à son inéluctable disparition, Silvia se lance dans une histoire d'amour, la première depuis des années.

Rencontre avec Valentina Lopez Mape journaliste colombienne et David Florez de l’association TEJE France (Travailler ensemble jeunes et engagé-e-s)

Au-delà du film de commande et de propagande, Fritz Lang, une fois de plus, maque cette réalisation de son talent pour offrir une œuvre  très personnelle, tout à la fois sérieuse (comme le sujet l'impose) et divertissante.

A voir A lire

L’Édition 2019-20 proposait : « Dis-moi dix mots au fil de l'eau ». L'eau croise sans cesse nos existences. Elle est un bien commun de l'humanité. Une thématique très visuelle, à même de donner libre cours à la créativité des membres qui se sont joyeusement jetés à l’eau pour s’emparer des mots : aquarelle (nom) - à vau-l'eau (adv.) - engloutir (v.) - fluide (adj.) - oasis (nom) -mangrove (nom) - ondée (nom) - plouf (interj.) - ruisseler (v.) et spitant (adj.) Dix mots, soixante photos et autant d'invitations au voyage, à la réflexion, au plaisir, à la poésie.

Avec : 

• Nik Bärtsch, piano

• Sha, basse, clarinette

• Nicolas Stocker, drums, percussions

Production Autre Rivage

Crédit Photo : ©Christian Senti

Il sera accessible gratuitement du 17 avril au 17 mai 2021

Auteur d’un hommage remarqué à Stéphane Grappelli (enregistré sur le violon du maître) mais aussi d’une incursion très personnelle dans la musique de Bartok, Mathias Lévy s’inscrit dans la riche tradition française du violon jazz. Une tradition qui, si elle démarre avec le jazz dit manouche, est loin de se limiter à cette esthétique et a porté le violon à rivaliser avec d’autres instruments. Au sein d’un trio à cordes original avec Jean-Philippe Viret à la contrebasse et l’étonnant Sébastien Giniaux qui passe allègrement de la guitare au violoncelle, ces musiciens développent un univers improvisé singulier aux multiples ouvertures musicales, auxquelles ils agrègeront, pour l’occasion, l’accordéon généreux et nomade de Vincent Peirani.

Les concerts jazz de l’Espace Sorano vous manquent ? Vous aussi vous nous manquez ! En attendant de pouvoir retrouver les artistes en salle, Sorano Jazz passe aux concerts en ligne. Rendez-vous sur votre réseau social préféré pour assister gratuitement à un concert comme si vous y étiez. (Loin des yeux, mais près du cœur et des oreilles !)

Auteur d’un hommage remarqué à Stéphane Grappelli (enregistré sur le violon du maître) mais aussi d’une incursion très personnelle dans la musique de Bartok, Mathias Lévy s’inscrit dans la riche tradition française du violon jazz. Une tradition qui, si elle démarre avec le jazz dit manouche, est loin de se limiter à cette esthétique et a porté le violon à rivaliser avec d’autres instruments. Au sein d’un trio à cordes original avec Jean-Philippe Viret à la contrebasse et l’étonnant Sébastien Giniaux qui passe allègrement de la guitare au violoncelle, ces musiciens développent un univers improvisé singulier aux multiples ouvertures musicales, auxquelles ils agrègeront, pour l’occasion, l’accordéon généreux et nomade de Vincent Peirani.

Avec :

• Jeremy Pelt, trompette

• Chien Chien Lu, vibraphone

• Victor Gould, piano

• Jasen Weaver, contrebasse

• Allan Mednard, batterie

© Kasia Idzkowska

Avec :

• Nicolas Moreaux : contrebasse

• Hermon Mehari, trompette

• Olivier Bogé, saxophone alto

• Matt Chalk, saxophone alto

• Christophe Panzani, saxophone ténor

• Rob Clearfield, piano

• Pierre Perchaud, guitare

• Karl Jannuska, batterie

• Antoine Paganotti, batterie

• Philippe Maniez, arrangements

©Marion Leflour

La presse en parle :

• Jazz Magazine : "Fidèle à l'esthétique qui a fait sa réputation, il expose un jazz éminemment poétique et mélodique, empreint d'une douce nonchalance, à l'opposé de l'agitation qui caractérise notre époque", "une musique tout en Camaïeu, légère, inspirée et lyrique, qui invite au voyage intérieur"
• Jazz News : "le bois très sombre de la contrebasse de Nicolas Moreaux dans lequel plongent nos yeux tandis que ses compositions immédiatement mélodieuses, propulsées par les deux batteries de Karl Jannuska et Antoine Paganotti, agissent comme une invitation à prendre le large"

A voir du 20 mars au 20 avril

D’origine brésilienne, fille de musicien, Agathe Iracema avait bien des atouts dès la naissance pour développer une fibre artistique. Alors qu’une fée du jazz vocal s’est penchée avec bonheur sur son talent (la grande Sheila Jordan, elle-même adoubée par Charlie Parker) la jeune chanteuse revendique aussi l’influence de Stevie Wonder ou Charles Trenet. Trois langues, trois genres, qui se fondent dans un style à la fraîcheur malicieuse, portés par une spontanéité joueuse et une aisance rythmique virevoltante. En duo complice avec le pianiste Leonardo Montana, qui a baigné comme elle dans la culture du Brésil depuis l’enfance, Agathe Iracema enchante le jazz, entre ses propres compositions, quelques standards intemporels réarrangés et de petits trésors de bossa et de samba absolument irrésistibles.

SORANO JAZZ ONLINE

Les concerts jazz de l’Espace Sorano vous manquent ? Vous aussi vous nous manquez ! En attendant de pouvoir retrouver les artistes en salle, Sorano Jazz passe aux concerts en ligne. Rendez-vous sur votre réseau social préféré pour assister gratuitement à un concert comme si vous y étiez. (Loin des yeux, mais près du cœur et des oreilles !)

D’origine brésilienne, fille de musicien, Agathe Iracema avait bien des atouts dès la naissance pour développer une fibre artistique. Alors qu’une fée du jazz vocal s’est penchée avec bonheur sur son talent (la grande Sheila Jordan, elle-même adoubée par Charlie Parker) la jeune chanteuse revendique aussi l’influence de Stevie Wonder ou Charles Trenet. Trois langues, trois genres, qui se fondent dans un style à la fraîcheur malicieuse, portés par une spontanéité joueuse et une aisance rythmique virevoltante. En duo complice avec le pianiste Leonardo Montana, qui a baigné comme elle dans la culture du Brésil depuis l’enfance, Agathe Iracema enchante le jazz, entre ses propres compositions, quelques standards intemporels réarrangés et de petits trésors de bossa et de samba absolument irrésistibles.

Avec :

• Lionel Belmondo, saxophone ténor, soprano, flûte
• Stéphane Belmondo, trompette, bugle
• Laurent Fickelson, piano
• Sylvain Romano, contrebasse
• Tony Rabeson, batterie

Crédit photo © Géraldine Aresteanu

Avec :

• Joël Chausse, Geoffroy Tamisier, Jean-Paul Estiévenart, Olivier Laisney : trompettes

• Jean-Louis Pommier, Sébastien Llado, Martin Gilloire, Morgane Pommier : trombones

• Alban Darche, Matthieu Donarier, Jérôme Masco, Stéphane Payen, Simon Corneille : saxophones

• Marie Krüttli : piano

• Gilles Coronado : guitare

• Sébastien Boisseau : contrebasse

• Christophe Lavergne : batterie

Crédit photo © Annabelle Tiaffay / ©Thierry Mallevaes

Avec :

• Christophe Leloil, trompette
• Perrine Mansuy, piano
• Pierre Fénichel, contrebasse
• Fred Pasqua, batterie

Crédit photo ©Laetitia Bourgeois et Patrick Gherdoussi

Natif de Cuba où il a étudié les percussions avant d’adopter le piano, Omar Sosa développe depuis plus de trente ans une fusion originale d’influences qui sont à l’image de son parcours, brassant la musique classique, le jazz, l’électronique avec les traditions de son île — notamment le culte yoruba — dont il est naturellement imprégné, tout en regardant vers le continent originel, l’Afrique, où il a noué de nombreuses collaborations artistiques. Avec le percussionniste vénézuélien Gustavo Ovalles, véritable magicien des sons entouré d’une forêt d’instruments, il cultive depuis plusieurs décennies une relation fertile en tête-à-tête, dans laquelle le piano se fait tambour et les tambours se font pianos, selon un dialogue constant autour des rythmes et des timbres, porté de bout en bout par l’esprit de la danse.

Crédit photo © Thomas Krüssellman

Avec :

• Oded Tzur, saxophone ténor
• Nitai Hershkovits, piano
• Petros Klampanis, contrebasse
• Jason Brown, batterie

Crédit photo ©Justin Bettman

Avec :

• Joce Mienniel : flûtes
• Pierre Durand : guitare,
• Nanou Coul, Tanti Kouyate : chant
• Douada Mangara : n’goni aigu et medium
• Amadou Daou : calebasse
• Benjamin Flament : percussions préparées

Crédit photo ©Pascal Thiébaut

Cette histoire, bien connue de tous, est ici racontée par deux sœurs, l’une comédienne et l’autre pianiste. Dans une forme à mi-chemin entre la musique de chambre et le théâtre de récit, elles imbriquent leurs langages artistiques avec ingéniosité et complicité et nous invitent à (re)découvrir la version des frères Grimm, qui ne comporte ni fée, ni carrosse. 

Portées par la musique de Prokofiev, les deux artistes nous envoûtent en redonnant une intemporalité à cette fable dans laquelle la proximité avec la nature s’oppose à la tyrannie des apparences.

Comment je suis devenue Olivia raconte la vie de la petite Olivia et de sa sœur Célia, toutes deux passionnées de comédies musicales et d'histoires d'amour et de bandes rivales. Olivia est nulle en tout. Sauf en bavardage. Un jour, elle rencontre Louis-Tayeb, un garçon de sa classe au collège qui va lui révéler sa vocation. Sa vie bascule. Bien des années après, les deux sœurs devenues comédienne et pianiste professionnelles redessinent leur roman personnel.

A travers les souvenirs éclatés de l’enfance, ses blessures et ses victoires, c’est la construction d’une vocation artistique que nous interrogeons, les puissances de transformations de l’imaginaire ainsi que les forces de la fratrie, les vertiges amoureux à l’âge des métamorphoses et des revendications égalitaires. Et de la puissance de résilience qui se cache dans l’art.